Cyber-assurance Télécommunication
Assurez votre entreprise de télécommunication contre les cyber-risques
L’exploitation de réseaux de communication, la gestion de flux considérables de données et le stockage de quantités d’informations sensibles et critiques font que les opérateurs de télécommunications suscitent un vif intérêt de la part des acteurs étatiques, de leurs concurrents mais aussi des cybercriminels.
Ces entreprises de télécoms, qui ont nécessairement recours à l’utilisation de réseaux et supports informatiques pour proposer leurs services, échanger ou conserver leurs données, s’avèrent particulièrement exposées aux cyber-menaces. Elles se trouvent fréquemment confrontées à des violations de données confidentielles, des vols de matériels informatiques, des interruptions d’activité, et des dangers spécifiques liés au data center et au cloud computing…
Les conséquences d’une cyberattaque menée contre un opérateur de télécommunications affectent à la fois l’entreprise elle-même, dont l’activité sera entièrement bouleversée voire bloquée, mais aussi impactera, de manière certaine et irrémédiable, l’ensemble de ses clients.
Ainsi, pour pouvoir faire face à la cybercriminalité, à l’espionnage et à la malveillance interne, ce secteur doit redoubler de vigilance et mettre en place un véritable plan de sécurité pour déceler des intrusions physiques ou informatiques non autorisées qui pourraient leur causer de graves préjudices financiers, réputationnels et juridictionnels.
Pour allier compétitivité accrue, exigences des clients et sûreté des données, les télécoms proposent des services toujours plus innovants tout en observant des règles strictes de sécurité digitale, afin de préserver la manne d’informations qu’ils détiennent et dont ils sont responsables.
Les principaux risques touchant le secteur des télécommunications en matière de cybercriminalité :
Piratage et vol de données :
Par essence, les entreprises de télécommunications transmettent, émettent ou réceptionnent des quantités de signaux, de données et/ou de renseignements à travers leurs différentes liaisons. C’est pourquoi l’émergence actuelle de nouvelles formes de cyber-attaques en font des cibles prisées des malwares avancés et autres malveillances informatiques.
Or, certaines entreprises de télécoms, tels les Datacenters, peuvent détenir l’essentiel du capital informationnel. Elles supportent donc de lourdes responsabilités en termes de sécurisation et de disponibilité de ces données.
Les détournements de fonds
Afin d’accéder aux données de clients, identifier la cartographie du réseau ou encore dérober des documents sensibles, les cybercriminels vont le plus souvent rechercher une faille humaine au sein même de l’entreprise de télécoms.
S’ils ne décèlent pas d’employés mécontents facilement exploitables, les malfaiteurs n’hésitent pas à utiliser des informations compromettantes pour procéder à de véritables chantages sur certains membres du personnel.
Une fois cette complicité interne acquise, les hackeurs vont pouvoir facilement pénétrer dans les systèmes de l’entreprise ou accéder à certains fichiers afin de commettre leurs cyber-attaques (compromission de données, détournement de documents critiques, usurpation d’identité, phishing,…).
Les chiffres des cyber-attaques dans le secteur des télécommunications
40% des consommateurs
Ne veulent plus entretenir de relations commerciales avec des marques qui ont subi une faille de sécurité.
38% des attaques ciblés
Font désormais intervenir des activités malveillantes commises par des employés.
60% des violations de données
Sont réalisées pendant que les données sont en transit.
42% d’entreprises victimes
De ransomwares en 2016 et une PME sur 3 a payé la rançon.
Cyber-attaques dans le secteur des télécommunications
OPERATEUR DE TELEPHONIE
L’opérateur britannique a annoncé avoir été victime d’une attaque informatique ayant occasionné la fuite de données personnelles de 4 millions de clients. L’opérateur en mesure aujourd’hui les conséquences : diminution de leur valeur boursière, 101.000 clients perdus et 60 millions de livres de coûts additionnels. Il s’agissait de la 3ème cyber-attaque subie par l’entreprise en un an.
HEBERGEUR
Le leader européen de l’hébergement internet OVH a été victime de la plus importante attaque DDoS jamais connue, générée par le flux massif de plus de 150 000 caméras connectées à distance. Plus de 1,5 terabits arrivait chaque seconde sur les serveurs d’OVH, perturbant ainsi les centaines de milliers d’applications et de sites web hébergés.
Nos couvertures dans le secteur des télécommunications
L’interruption des services informatiques
La perte d'exploitation générée par une interruption du réseau informatique de la banque ou de la structure financière du fait d'une attaque par déni de service, d'une atteinte à la sécurité de ce réseau ou encore d'une interruption d'accès à des services de cloud-computing.
La cyber-extorsion
Les frais de négociations et les impacts financiers liés au chantage d’un hackeur menaçant de divulguer les informations personnelles et/ou confidentielles piratées ou de paralyser les systèmes d’informations financiers.
Les enquêtes administratives
Les frais liés à une enquête administrative ainsi que certaines sanctions pécuniaires prononcées par une autorité publique à la suite d’une violation de la règlementation relative à la protection des données personnelles.
La responsabilité liée aux données
Les frais de défense résultant d’une réclamation introduite contre la banque ou de la structure financière à la suite d’une altération ou d’un détournement de données confidentielles, dont elle avait la responsabilité.
La restauration des données informatiques
Les coûts générés par la récupération et/ou la reconstitution des données à la suite d’une fuite de données sensibles ou d’une atteinte à la sécurité de ces dernières.
La gestion de crise
Les frais d’experts informatiques pour sécuriser les réseaux, les frais de notification ou de surveillance associés à une atteinte à la protection des données informatiques ainsi que les frais de consultants en relations publiques pour restaurer l’image de la banque ou de la structure financière.